CHEVEUX - Voilà qui change des alphabets affichés dans les salles de classe. Une artiste américaine, Shurong Diao, a voulu réinterpréter l'alphabet sous l'angle de la calligraphie chinoise.
Étudiante à la School of Visual Art à New York, la jeune femme devait redessiner un alphabet pour l'un de ses cours en septembre 2013. "Je voulais construire un pont entre les caractères chinois et les lettres romanes" explique Shurong Diao au HuffPost qui l'a contactée. "En utilisant la chevelure noire si particulière des femmes chinoises, j'ai créé une police d'écriture imitant l'effet de l'encre sur le papier de riz.
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Pour cette série de photos, la jeune femme a fait appel à l'une de ses amies pour poser. Et au risque de décevoir les coiffeurs et les amateurs de longues chevelures, le modèle a dû porter des extensions pour la séance photo de l'aveu même de Shurong Diao.
En 2014, quand l'artiste envoie son alphabet au site "We love typography" avec qui elle veut collaborer, la machine s'emballe : "Je leur ai envoyé mon travail par mail et ils l'ont posté sur leur site. J'ai alors commencé à voir mon travail affiché sur plusieurs sites internet spécialisés dans le design." s'amuse-t-elle. Ravie de ces sollicitations médiatiques, elle n'a pour l'instant aucun plan de prévu pour l'afficher dans une galerie d'art.
Étudiante à la School of Visual Art à New York, la jeune femme devait redessiner un alphabet pour l'un de ses cours en septembre 2013. "Je voulais construire un pont entre les caractères chinois et les lettres romanes" explique Shurong Diao au HuffPost qui l'a contactée. "En utilisant la chevelure noire si particulière des femmes chinoises, j'ai créé une police d'écriture imitant l'effet de l'encre sur le papier de riz.
Pour cette série de photos, la jeune femme a fait appel à l'une de ses amies pour poser. Et au risque de décevoir les coiffeurs et les amateurs de longues chevelures, le modèle a dû porter des extensions pour la séance photo de l'aveu même de Shurong Diao.
En 2014, quand l'artiste envoie son alphabet au site "We love typography" avec qui elle veut collaborer, la machine s'emballe : "Je leur ai envoyé mon travail par mail et ils l'ont posté sur leur site. J'ai alors commencé à voir mon travail affiché sur plusieurs sites internet spécialisés dans le design." s'amuse-t-elle. Ravie de ces sollicitations médiatiques, elle n'a pour l'instant aucun plan de prévu pour l'afficher dans une galerie d'art.
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