SANTE - Les ventes de pilules contraceptives de 3e et 4e générations ont chuté de 48% rapporte l'AFP. Cette baisse des ventes s'est amorcée après la "crise" du début d'année 2013 qui ont fait suite aux mises en garde de l'agence du médicament (ANSM).
"Sur la période janvier-avril 2014, la diminution des ventes de ces contraceptifs était de 48% par rapport à la période janvier-avril 2012" indique l'Agence. Dans ce même temps, les pilules de 1er et 2e générations ont progressé de 32%. Cette baisse confirme que "les femmes et les prescripteurs privilégient les contraceptifs qui représentent des risques thromboemboliques (formation de caillot, ndlr) les plus faibles et qu'ils ont pris en compte les recommandations émises par la ANSM".
Une vive polémique avait éclaté au début de l'année 2013, à la suite de la plainte d'une victime d'un AVC imputé à une pilule de 3e génération. En effet, Les risques de thrombose sont multipliés par deux chez les utilisatrices de pilules de 3e et 4e générations par rapport aux 1e et 2e générations. Pour appuyer le message de l'ANSM, les autorités sanitaires avaient décidé d'anticiper le déremboursement des pilules de 3e génération.
Cette baisse profite aux autres modes de contraception en particulier les stérilets. "Depuis le mois de janvier 2013, une augmentation des ventes des autres contraceptifs s'est amorcée" (+26%), selon l'ANSM. Les ventes des stérilets ont bondi, à elles seules, de 45%.
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"Sur la période janvier-avril 2014, la diminution des ventes de ces contraceptifs était de 48% par rapport à la période janvier-avril 2012" indique l'Agence. Dans ce même temps, les pilules de 1er et 2e générations ont progressé de 32%. Cette baisse confirme que "les femmes et les prescripteurs privilégient les contraceptifs qui représentent des risques thromboemboliques (formation de caillot, ndlr) les plus faibles et qu'ils ont pris en compte les recommandations émises par la ANSM".
Une vive polémique avait éclaté au début de l'année 2013, à la suite de la plainte d'une victime d'un AVC imputé à une pilule de 3e génération. En effet, Les risques de thrombose sont multipliés par deux chez les utilisatrices de pilules de 3e et 4e générations par rapport aux 1e et 2e générations. Pour appuyer le message de l'ANSM, les autorités sanitaires avaient décidé d'anticiper le déremboursement des pilules de 3e génération.
Cette baisse profite aux autres modes de contraception en particulier les stérilets. "Depuis le mois de janvier 2013, une augmentation des ventes des autres contraceptifs s'est amorcée" (+26%), selon l'ANSM. Les ventes des stérilets ont bondi, à elles seules, de 45%.
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