L'attentat contre Malala... le kidnapping de plus de 200 lycéennes au Nigeria sur leur lieu scolaire. Ces drames nous rappellent combien le droit à l'éducation pour les filles dans le monde est fragile. Ces filles ont été ciblées pour la simple raison qu'elles étaient inscrites à l'école et ne faisaient qu'exercer leur droit à l'éducation. Elles représentaient une menace car elles contribuaient, à leur façon, à renforcer l'égalité hommes-femmes et se préparaient à jouer un rôle dans le développement socio-économique de leur pays.
Chaque jour à travers le monde, les droits des enfants, spécialement des filles, sont bafoués. Elles sont les premières à être victimes de violences et d'abus sexuels, à ne pas avoir accès aux soins de base, et à être cantonnées aux travaux domestiques. Elles sont, également 65 millions à ne pas avoir accès à l'école.
Une situation inacceptable surtout lorsque l'on sait la corrélation qui existe entre développement et éducation. Les pays qui enregistrent les niveaux de vie les plus bas et les taux d'analphabétisme les plus élevés sont ceux qui n'éduquent pas les filles. A contrario, ceux où le taux national d'inscription des filles à l'école primaire augmente voit leur produit intérieur brut par personne augmenter.
Une fille qui va à l'école au moins 9 années, c'est automatiquement moins de misère et plus de développement. Elle se mariera plus tard, exercera une activité économique qui bénéficiera à toute sa famille, aura moins d'enfants qui auront davantage de chance d'aller à l'école. Elle comprendra ses droits, fera ses propres choix et sera un moteur de changement pour sa communauté.
Depuis 2012, l'ONG de solidarité Plan International mène une campagne mondiale pour lutter contre les barrières qui empêchent les filles d'aller à l'école et donner à 4 millions de filles accès à une éducation d'ici 2016. Chaque année, la Journée Internationale des Filles du 11 octobre marque le temps fort de cette campagne menée dans 70 pays.
Cette année, Plan International appelle l'opinion et les pouvoirs publics à se mobiliser via une e-pétition soutenue par une vingtaine de personnalités.
Cette pétition appelle la communauté mondiale à :
Chaque signature sera comptabilisée et transmise à l'ONU et aux bailleurs internationaux pour que l'éducation des filles devienne une priorité.
Chaque jour à travers le monde, les droits des enfants, spécialement des filles, sont bafoués. Elles sont les premières à être victimes de violences et d'abus sexuels, à ne pas avoir accès aux soins de base, et à être cantonnées aux travaux domestiques. Elles sont, également 65 millions à ne pas avoir accès à l'école.
Lire aussi:
Une situation inacceptable surtout lorsque l'on sait la corrélation qui existe entre développement et éducation. Les pays qui enregistrent les niveaux de vie les plus bas et les taux d'analphabétisme les plus élevés sont ceux qui n'éduquent pas les filles. A contrario, ceux où le taux national d'inscription des filles à l'école primaire augmente voit leur produit intérieur brut par personne augmenter.
Une fille qui va à l'école au moins 9 années, c'est automatiquement moins de misère et plus de développement. Elle se mariera plus tard, exercera une activité économique qui bénéficiera à toute sa famille, aura moins d'enfants qui auront davantage de chance d'aller à l'école. Elle comprendra ses droits, fera ses propres choix et sera un moteur de changement pour sa communauté.
Depuis 2012, l'ONG de solidarité Plan International mène une campagne mondiale pour lutter contre les barrières qui empêchent les filles d'aller à l'école et donner à 4 millions de filles accès à une éducation d'ici 2016. Chaque année, la Journée Internationale des Filles du 11 octobre marque le temps fort de cette campagne menée dans 70 pays.
Cette année, Plan International appelle l'opinion et les pouvoirs publics à se mobiliser via une e-pétition soutenue par une vingtaine de personnalités.
Cette pétition appelle la communauté mondiale à :
- faire de l'éducation des filles une priorité dans les objectifs de développement post 2015
- prendre des mesures pour assurer aux filles une scolarité de 9 années minimum gratuite, de qualité, dans des établissements sûrs
- augmenter les financements en faveur de l'éducation des filles
Chaque signature sera comptabilisée et transmise à l'ONU et aux bailleurs internationaux pour que l'éducation des filles devienne une priorité.
Investir dans l'éducation des enfants et des jeunes n'est pas seulement un choix : c'est un devoir de la part des gouvernements et de la communauté internationale pour enrayer le cycle de la pauvreté
Parce que l'éducation transforme la vie des filles et les rend libres, signer la pétition sur www.planfrance.org/petition