...La journée de la femme joue les prolongations
Des films du monde entier pour porter à l'écran la vision de femmes et leurs regards sur l'environnement.
Un festival à la découverte de nouveaux talents mais aussi fidèle à des réalisatrices et actrices de renom. Au fil des années, Maria de Medeiros, Aïssa Maïga, Charlotte Rampling ou Nathalie Baye, parmi tant d'autres se sont prêtées au jeu de l'Autoportrait face à Jackie Buet, la directrice du Festival. Cette année, Béatrice Dalle est à l'honneur.
Le Festival, c'est aussi la mémoire vivante du cinéma de femmes avec des archives numérisées consultables à l'INA.
Pour la 37ème édition :
- des films de France et d'ailleurs
En ouverture, le 13 mars, on part de la France avec L'Astragalede Brigitte Sy, une adaptation du roman autobiographique d'Albertine Sarrazin, avec Leïla Bekhti, Reda Kateb, Esther Garrel et Jocelyne Desverchère.
Le 14 mars on tourne les projecteurs vers un débat féministe avecJe ne suis pas Féministe mais... de Julie et Florence Tissot, suivi d'une rencontre-débat avec Christine Delphy animée par Ghaïss Jasser sur l'engagement et l'œuvre de cette féministe.
Puis vient un regard particulier sur la Tunisie avec Le Challat de Tunis de Khaouter Ben Hania, monté par Nadia Ben Rachid (César 2015 pour Timbuktu). Le film se passe en Tunisie avant la révolution. Un homme à moto, armé d'un rasoir, balafre les fesses des femmes qui arpentent les trottoirs de Tunis. On l'appelle le Challat, "la lame".
Tout au long du festival les films projetés nous font voyager de l'Ethiopie, à l'Iran, au Pakistan ou au Québec avec les Réalisatrices Equitables, invitées du Canada qui oeuvrent pour un cinéma responsable. Nous revenons ensuite en Europe, notamment en Irlande, avec Take the Boat, film de Camille Hamet et Séréna Robin, avec la voix de Catherine Deneuve, qui suit le périple de ces irlandaises qui doivent prendre le bateau pour pouvoir avorter car l'IVG est interdite dans leur pays.
...des films dédiés à l'environnement
La section TURBULENCES réunit plus de 25 films dont le propos et les élans artistiques se tournent vers l'espace que nous habitons, les désastres globaux et les alternatives solidaires et locales. En se posant la question du territoire, de l'espace, de l'environnement, des outils de production, de l'argent, le Festival s'engage auprès de celles et ceux qui proposent des alternatives, des modes de survie inattendus, des pactes de solidarité, des images différentes.
Les projections sont accompagnées de tables rondes prolongeant la réflexion sur les questions d'environnement les mardi 17 et 18 mars à 16h30.
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Des films du monde entier pour porter à l'écran la vision de femmes et leurs regards sur l'environnement.
Un festival à la découverte de nouveaux talents mais aussi fidèle à des réalisatrices et actrices de renom. Au fil des années, Maria de Medeiros, Aïssa Maïga, Charlotte Rampling ou Nathalie Baye, parmi tant d'autres se sont prêtées au jeu de l'Autoportrait face à Jackie Buet, la directrice du Festival. Cette année, Béatrice Dalle est à l'honneur.
Le Festival, c'est aussi la mémoire vivante du cinéma de femmes avec des archives numérisées consultables à l'INA.
Pour la 37ème édition :
- des films de France et d'ailleurs
En ouverture, le 13 mars, on part de la France avec L'Astragalede Brigitte Sy, une adaptation du roman autobiographique d'Albertine Sarrazin, avec Leïla Bekhti, Reda Kateb, Esther Garrel et Jocelyne Desverchère.
Le 14 mars on tourne les projecteurs vers un débat féministe avecJe ne suis pas Féministe mais... de Julie et Florence Tissot, suivi d'une rencontre-débat avec Christine Delphy animée par Ghaïss Jasser sur l'engagement et l'œuvre de cette féministe.
Puis vient un regard particulier sur la Tunisie avec Le Challat de Tunis de Khaouter Ben Hania, monté par Nadia Ben Rachid (César 2015 pour Timbuktu). Le film se passe en Tunisie avant la révolution. Un homme à moto, armé d'un rasoir, balafre les fesses des femmes qui arpentent les trottoirs de Tunis. On l'appelle le Challat, "la lame".
Tout au long du festival les films projetés nous font voyager de l'Ethiopie, à l'Iran, au Pakistan ou au Québec avec les Réalisatrices Equitables, invitées du Canada qui oeuvrent pour un cinéma responsable. Nous revenons ensuite en Europe, notamment en Irlande, avec Take the Boat, film de Camille Hamet et Séréna Robin, avec la voix de Catherine Deneuve, qui suit le périple de ces irlandaises qui doivent prendre le bateau pour pouvoir avorter car l'IVG est interdite dans leur pays.
...des films dédiés à l'environnement
La section TURBULENCES réunit plus de 25 films dont le propos et les élans artistiques se tournent vers l'espace que nous habitons, les désastres globaux et les alternatives solidaires et locales. En se posant la question du territoire, de l'espace, de l'environnement, des outils de production, de l'argent, le Festival s'engage auprès de celles et ceux qui proposent des alternatives, des modes de survie inattendus, des pactes de solidarité, des images différentes.
Les projections sont accompagnées de tables rondes prolongeant la réflexion sur les questions d'environnement les mardi 17 et 18 mars à 16h30.

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